Agota Kristof

       La Clé de  l’Ascenseur (Éditions du Seuil)
                                    
     C’est Égal ( l’Invitation, La Hache)  (Éditions du Seuil)


 Mise en scène : Jeanne-Marie Garcia. Avec Marie 
    Bringuier, Anne Lasmezas, Jeanne-Marie Garcia,
                 David Lerheun, Etienne Rattier.


                                                  accueil    
                                                          
       Au Tremplin Théâtre
                 Du 3 février au 10 mars  2012
           Les vendredis et samedis  à 20 heures 30
                   39 rue des Trois Frères  75018 Paris
                             Réservations : 01 42 54 91 00
                                                    

Note d’intention

« J’adore me coucher parce que je sais que je vais rêver. Je me réjouis d’avance parce que c’est parfois tellement magnifique : dans la vie, on ne rencontre jamais des situations comme ça. Par contre, j’ai aussi des cauchemars avec l’école, avec mes maris» (A.Kristof)

Les textes réunis dans Traversées, pourraient être des rêves d’Agota Kristof, des cauchemars. 
L’étrange apparaît dans les mots et les actes les plus banals, le merveilleux côtoie l’horrible.   
A travers ces courtes histoires, le destins de trois femmes.    

Dans ces textes explorant les thèmes de l’amour, de la solitude, de l’incommunicabilité, apparaît en filigrane, le sentiment d’arrachement et d’exil qui n’a jamais quitté Agota Kristof.
           

Dans La Clé de l’Ascenseur, une femme fait visiter son beau château. Elle est heureuse. Elle attend son homme. Peu à peu, ce bonheur s’effrite, elle raconte une bien étrange histoire d’amour........



























Dans L’invitation, un couple marié depuis de longues années, prépare une fête d’anniversaire dans une atmosphère étrange, l’homme paraît très gai, plein de verve, la femme reste silencieuse, une inquiétante ambiance s’installe peu à peu, à la fin la fête, la femme se regarde longuement dans un miroir, dans une solitude absolue. 



















































Dans la Hache, une femme, peut-être celle de L’Invitation, a tué son mari, ou rêve de l’avoir tué. Elle s’adresse alors dans un monologue au docteur qu’elle-même a appelé pour constater la mort de son époux.


























Dans Line, le temps, une enfant de 12 ans déclare son amour à un jeune homme, elle aime comme jamais elle n’aimera plus après. Dix ans plus tard, ils se retrouvent.......




























L’auteur

L'œuvre sidérante d'Agota Kristof a rejoint les classiques de la littérature du XXe siècle – sa
fameuse Trilogie des Jumeaux notamment – imposant son monde hors norme, obsédé par la
violence, la nostalgie de l'enfance et de sa toute puissance, l'effroi de la perte des origines, le
mensonge des mots et l'implacable noirceur de la vie. Souligne-t-on le pessimisme absolu de son œuvre, la réplique fuse, imparable : « un livre, si triste soit-il, dit-elle, ne peut être aussi triste qu'une vie » ( Le Troisième Mensonge ).
Née en 1935 à Csikvand, à la frontière austro-hongroise, Agota Kristof a neuf ans lorsque ses parents s'installent à Köszeg qui deviendra la ville du Grand Cahier. 
Après une enfance dure et forte mais heureuse, elle connaît un premier exil lors des
années d'internat et obtient un bac scientifique. En 1956, lorsqu'elle fuit la Hongrie envahie par les troupes soviétiques, c'est une jeune femme de vingt et un ans qui, dans l'urgence, son mari étant politiquement menacé, quitte tout, n'emmenant avec elle que son bébé de quelques mois et des dictionnaires. Elle pensait se fixer en Autriche ou aux Etats-Unis : le destin en décidera autrement et c'est à Neuchâtel et en français qu'elle vivra et créera son œuvre dérangeante et magnifique. Car la fugitive est un écrivain, débutant, certes, mais qui, déjà, doit faire le double deuil d'une œuvre lyrique dont les manuscrits sont abandonnés en Hongrie, perdus à tout jamais, et d'une langue maternelle, le hongrois, sienne pour un temps encore, avant d'être « vampirisée » par le français, langue de son œuvre future. Agota Kristof a dit dans L'Analphabète (2004, textes de 1989/90) son étrange parcours : la fillette ivre de lectures et d'histoires dès ses quatre ans, l'adolescente qui écrit des poèmes et tient un journal codé, la violence de l'exil, la perte de la langue première « Ce dont je suis sûre, c'est que j'aurais écrit, n'importe où, dans n'importe quelle langue » . Ce sera le français qu'elle a pu approfondir grâce à une bourse de l'Université de Neuchâtel. Ses premiers textes français, du théâtre et des nouvelles, ne paraîtront que bien plus tard, de 1993 à 2007 pour le premier ( L'Épidémie ; Un rat qui passe ; La Clé de l'ascenseur et autres pièces ; Le Monstre et autres pièces) et 2005 pour les secondes ( C'est égal) . En 1986, alors qu'elle est une parfaite inconnue sur la scène littéraire, le Seuil publie son premier roman, Le Grand Cahier, qui lui vaut un succès mondial et entraîne ses « suites », La Preuve en 1988 et Le Troisième Mensonge en 1991.
En 1995, après un silence de quatre ans, Agota Kristof fait paraître Hier, chronique mi-narrative mi-onirique d'un exil insoutenable et d'une écriture abandonnée. « Sans écrire, je me sentirais complètement inutile » ( Le Matricule des anges , numéro 14, 1996, p. 21) affirmait-elle peu après, en 1996. Pourtant, moins de dix ans plus tard, c'est par un constat fataliste et lassé qu'elle vient contredire son assertion première : « Tout m'est égal maintenant, même l'écriture   » (elle s'exprime en ces termes dans Le Magazine littéraire , numéro 439, 2005, p.96) Paraissent pourtant de nombreux textes issus des intenses années 1970/1980 et le public découvre, en 2004, le récit autobiographique de L'Analphabète, les surprenantes nouvelles de C'est égal, en 2005, entre humour grinçant, sourde mélancolie et lassitude. Un recueil de théâtre paraît en 2007, Le Monstre et autres pièces, puissantes dénonciations des vices politiques, écologiques ou sociaux d'un monde qu'Agota Kristof réprouve et auquel elle n'oppose plus, désormais, qu'un nihilisme aussi total que serein.« Il faut du courage pour écrire certaines choses » disait-elle. Probablement aussi pour les taire.




L’équipe Artistique

Jeanne-Marie Garcia : comédienne

                  Elle a été formée au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris et au        
                          Conservatoire National de région de Bordeaux. 
                          Elle a joué en juin 2011 dans Rêves, une création au Théâtre de la tempête, mis en scène 
                          par  Philippe Adrien.
                          Elle a joué en mars 2011 dans Roberto Zucco de B.M Koltès ( rôle de la mère) à la Scène     
                          Nationale de Châlon sur Saône, mis en scène par Pauline Bureau.
                          Elle a joué au mois d’avril 2010  dans Mon cœur caresse un espoir,  mis en scène par Valérie        
                          Antonyievich (La mère et de la femme déportée) au Théâtre de l’Epée de Bois. Dans  
Demain, on se marie de C.Baronccini  (Carole) mis en scène par Vaouda Campos au  Théâtre de la Comédie Saint Michel à Paris (120 représentations). Dans Barbe Bleue  de Max Frisch  ( Rôles : Les six femmes  de Shaad ) au Théâtre du Chaudron à la Cartoucherie de Vincennes, au C.D.N d’Angoulème-Tournée, mis en scène par  Régine Achille-Fould. Dans Juliette Drouet et Victor Hugo  d’aprés leur correspondance ( Rôle : Juliette) mis en scène par Loic Pichon au Théâtre de La Tâche d’Encre à Avignon . Dans La Clé de l’Ascenseur d’ A.Kristof, mis en scène par Madeleine Marion au Festival de Blaye à deux reprises et auThéâtre des Songes à Paris. Dans A qui perd gagne  à partir de textes de J.C Grümberg (Anne) mis en  scène par Vaouda Campos au Théâtre du Bourgneuf au Festival d’Avignon-Théâtre, de la ménagerie de verre-Paris. Dans Les liaisons dangereuses  de  Laclos ( Mme Merteuil ) mis en scène par Alain Paris, à la Ménagerie de verre : Paris : C.D.N de Meaux, Tournée,Malakoff, tournée.
D dans Exercices de terreur  d’A.Sastre ( Rôles: Andersen ) mis en scène par Michel Allemandou au C.D.N de Bayonne, Théâtre du Globe : Bordeaux. Dans La mort de Pompée  de Corneille ( Rôle : Cléopâtre) mis en scène par Brigitte Jacques au  C.D.N  d’Aubervilliers, tournée dans Le vampire de Uppsala  d’A.Sastre ( Rôle: Ulla) Mis en scène par Michel Allemandou au C.D.N de Bayonne, Théâtre Barbey : Bordeaux,Théâtre du Colisé : Biarritz. Dans Cent  Milliards d’envies  de Y.Petrugnias ( Rôle Millie ) mis en scène par Yorjos Petrugnias au Théâtre A : Nanterre. Dans Elvire-Jouvet 40  de B.Jacques (rôle : Elvire, Claudia) mis en scène par Jacques-Albert Canques au Théâtre de l’Argonne : Bordeaux. Dans Le chant du silence rouge  de C.Galéa (Rôles : La jeune fille) mis en scène par Pierre Vial au C.D.N de  Marseille , C.D.N de Strasbourg. Dans Tartuffe  de Molière (Dorine ) mis en scène par Laurent Laffargue  au C.D.N de Bordeaux, C.D.N de Nancy; Théâtre 71 Tournée, dans Le pain de ménage   de J.Renard ( Rôle : Marthe ) Mis en scène par Raymond Baillet Théâtre.J.M :  Montpellier. Dans La dispute  de Marivaux (Rôle:Eglée ) mis en scène par Gérard Laurent au Théatre du Conservatoire de Bordeaux - Tournée dans les châteaux de l’aquitaine. Dans Crime et Châtiment de Dostoïevski (Rôle :Sonia ) au Théâtre 14 : Paris  tournée, mis en scène par Jean-Claude Amyl, dans Bajazet de J.Racine, mis en scène par Madeleine Marion  à la Comédie de Genève. Dans Iphigénie  de J.Racine ( Rôle : Iphigénie ) CNSAD, mis en scène par VivianeThéophilidès. Dans L’Arlésienne d’A.Daudet (Rôle:Vivette ) au Théâtre du Conservatoire de Bordeaux, mis en scène par Gérard Laurent. Dans Mephisto   de K.Mann ( Rôle:Thérésa ) au Théâtre Barbey : Bordeaux, mis en scène par Jacques-Albert Canques. Dans Ce Formidable Bordel de E.Yonesco au CNR de Bordeaux, mis en scène par Raymond Paquet.  


Anne Lasmezas : comédienne

                   Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de                                       P                             Paris, Anne Lasmezas entre ensuite au cours Florent (dans la classe de Francis      H                                  Huster) avant d’intégrer le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique             De                               Paris (dans les classes de Madeleine Marion    et de Pierre Vial) d’où elle sort  i    p                                   diplômée en 91. Elle complètera sa formation artistique par divers stages 
avec notamment Isabelle Nanty et Robin Renucci et des cours de chant lyrique avec Raphaél Sirkorsky. 
Elle commence son parcours de comédienne en 1986 dans le Cid de Corneille mis en scène par Francis Huster puis l’anneée suivante dans Richard III, mis en scène par Francis Huster au Théâtre du Rond Point. Avec les trétaux de France,  elle joue dans Guillaume le Conquérant mis en scène par Jean Danet, en 1987.
Elle interprète Antigone dans Antigone de Garnier mis en scène par Madeleine Marion au Théâtre du CNSAD.
A la sortie du CNSAD, elle joue dans Le jeu de l’amour et du Hasard de Marivaux mis en scène par Jacques Kreamer, Le jardin secret de Valérie Moretti, mise en scène de France Darry au Petit Montparnasse.
Elle rèpèta actuellemnt une création, mis en scène par Barbara Bouley.
Au cinéma, elle joue dans On a volé Charlie Spencer, réalisé par Francis Huster, aux côtés de Béatrice Dalle, Isabelle Nanty et Jean Pierre Aumont.
Pour la télévision, elle joue dans la série Quatre pour un loyer (Carrere Télévision), dans Secret d’Etat, Secret d’alcove, écrit et réalisé par Michel Julian ( SFP) et dans la série Marc et Sophie ( Télé Images) avec Ginette Garcin et Daniel Gelin.
Elle a joué aussi dans plusieurs fictions radiophoniques, sous la direction de Miron Merseerson : Céleste Modador, Parole de l’Esprit, Père et FIls, Pince Oreilles, Bibi Lambigu, Finale de couope, Condoléances et dans S.Shepard.
Parallèlement à son métier de comédienne, elle traduit de l’allemand au français des textes poétiques des partitions de Bach et de Beethoven pour le film d’Isabelle Nanty Le bison et sa voisine Dorine.
Elle est répétitrice pour les comédiennes Isabelle Nanty et Madeleine Marion.


Etienne Rattier : comédien

                        Il s’est formé au Conservatoire National de Région de Bordeaux
                        et au Conservatoire d’Aix en provence.
                        Il a continué sa formation par des stages notamment avec Bruno Putzulu, Harry Cleven,     
                        Philippe Calvario, Thierry de Peretti, Jan Peszek, Ursula Mikos, Michel Simonnet, 
                        Andréas Voutsinas, Philippe Hottier, Gérard Gozlan, Jean-Pierre Raffaeli.
                        Il prépare actuellement  Joe et John d’A.Kristof au Théâtre de l’Espace Icare à 
                        Issy-les-Moulineaux, mis en scène et interprété par lui-même.
Il a joué sous la direction de Dominique Tirone-Fernandez dans Les liaisons Culinaires d’A.Staïkos au Théâtre de l’Espace Icare à Issy-les-Moulineaux,, de Madeleine Marion dans Enfermeture ( création à partir de Textes de M.Thévoz et A.Kristof) au Théâtre des Songes à Paris, de Mireille Abadie dans Chocolat au café Deux-Magots, de Nicolas Soloy dans Rencontre E.T, création collective au Futuroscope de Poitiers, de François Dubos, dans Gzion de H.Blutsh au CDN de Poitiers, de Claude Bonin dans un montage de textes de Visniec et de Plejnev, au Festival de Sozopol en Bulgarie, d’Olivier Cohen dans L'affaire de la rue de Lourcine d’E. Labiche, au Procesnium à Paris, de Bernard Jung, dans Le Malade Imaginaire au Théâtre de Dreux, de Gabriel Chame Buendia, dans Coup de Chance de Jean-Henri Blumen à la Cour de l’Hôtel de Sully à Paris, de Robert Hossein dans La nuit de la liberté de F.Dard, de Daniel Amar dans Woyzeck de G. Büchner, au Théâtre de l’Usine à Pontoise, de Gérard Laurent Les paravents de J. Genêt C.N.R. de Bordeaux au Festival d'Avignon, de Raymond Paquet dans Ce formidable Bordel de E.Ionesco au CNR de Bordeaux,  de Jacques-Albert Canques dans Mephisto de K. MANN au Théâtre Barbey. 
Il a mis aussi en scène :  
-Antigone d’Anouil au Théâtre de l’Espace Icare puis 2011, repris en juillet 2011 au Festival de la Bierre,
- La Dispute de Marivaux au Théâtre de l’Espace Icare en 2010.
-Amour et piano, Par la fenêtre, L'homme de paille de G. Feydeau (Théâtre Icar à Issy-les-Moulineaux, Théâtre de Dreux)
-Ecrits bruts de M.Yhévoz, (acteur également au Théâtre de l’Espace Icare)
-Noce de sang, La Maison de Bernada de F. Lorca (Théâtre de l’Espace Icare)
La Consultation de P.Alkemade ( acteur également au Théâtre de l’Espace Icare)
 Le Professionnel et Anatole Felde de hervé Blutsch (Festival d’Avignon).
Le Canard Bleu de Hervé Blutsch  (au Théâtre de l’Espace Icare)
Passionné par la musique, l’informatique et le son, il s’est formé en autodidacte et a signé de nombreuses bandes sonores dans les spectacles au sein desquels il était comédien.
Il est directeur de la Compagnie de l’Instant.


Marie Bringuier, comédienne.


                         Après un baccalauréat littéraire, option théâtre, où elle a suivi les enseignements 
                         dispensés par la Compagnie Brozzoni Marie Bringuier consolide sa formation à la 
                         Scène sur Saône à Lyon et à Paris au Cours Florent puis auprès de Jack Garfein.
                         Sa vision protéiforme  la dirige vers l’écriture, à la mise en scène, et vers les aspects 
                         techniques du métier.
                         Sans mettre de côté le jeu, elle se met au service de jeunes metteurs en scène en 
                         sortie de Nanterre, pour Catastrophe de Beckett, où elle sera l’acteur.
                         De même elle sera la poule d’eau de la pièce éponyme de Witkiewicz. 
               Sa curiosité l’amène sur le plateau de l’opéra Garnier, où elle approfondit le mime pour l’italienne à Alger de Rossini par Andrei Serban.
Toujours dans un registre classique, elle est Cydippe, la méchante sœur de Psyché, dans la pièce de Molière et Corneille mis en scène par Coralie Salonne pour 70 représentations. Elle sera aussi l’Hermione d’Andromaque mis en scène par Benoit Guibert. Elle prend part au cycle « Jeanne et autres femmes », elle est Sainte Marguerite dans Jeanne et les Juges de Thierry Maulnier mis en scène par Cyril Legrix. Toujours dans un  soucis d’appréhender de grands rôles, lui est confié Prouhèze du Soulier de satin de Paul Claudel (fragments) dirigé par Veronique Laupin. Sa jeunesse lui permet d’interpréter Wendla dans l’Eveil du printemps mis en scène par Christian Lucas au CDN d’Annecy.
Ne reniant pas son goût pour les textes engagés et contemporains, elle collabore au Théâtre de la Colline , à une adaptation des poèmes de Bond mis en scène par Gilles David. 
Parallèlement, elle joue l’infirmière dans Eva Peron de Copi, qu’elle mettra en scène, et qui fera une tournée dans plusieurs festivals. Elle écrit, met en scène et joue pour le festival « Jacte et j’acte » à Limoux en 2009. 4 formules courtes sur le thème de l’érotisme. Tour à tour, elle est la femme dans La banquette de Limoux de Marie Peylhard , l’élève L2 dans Où vont les balançoires ? d’Olivier Balu et la nymphomane dans Ici pour eux et pour personne de Michael Msihid.
Elle prête sa voix à des lectures, L’alouette de Jean Anouilh par Cyril Legrix, Le secret de la guilde de Strindberg (Margaretha), Le dépit amoureux de Molière ( Ascagne), l’Inventeur de la poudre de Labiche (la duchesse) par Coralie Salonne. 31 pièces autobiographiques d’Armando Llamas. Elle mène de front son métier de comédienne et sa passion pour la mise en scène avec Supermarché de B.Srbljanovic et A en crever de C.Laudet. Elle a été l’assistante de Philippe Adrien la saison dernière sur Le partage de midi et Prothée de Paul Claudel ainsi que sur Rêves, création jouée au Théâtre de la Tempête en juin 2011.


David Lerheun

                         A sa sortie du Conservatoire national supérieur de région de Rennes, David décide de           
                         tenter plusieurs approches du théâtre qui le mènent au théâtre « pour dans les bars »,     
                         notamment, sous la direction de Christophe Pagnon dont il joue quatre pièces. 
                         Mais il ne laisse pas les formes plus classiques. Il joue sous les directions, entre autres, 
                         de Philippe Adrien dans L’enfant rêve d’Hanokh Lévin au Théâtre de la Tempête, 
                         de Robert Hossein dans son Ben Hur au stade de France, de Jean-Michel Rabeux 
                         dans La double inconstance de Marivaux, de François Joxe au Lucernaire dans La vie    
                         éternelle de Narcis Comadira, et de François Raffenaud au Théâtre de la Tempête.               
                         Il est également Eddy dans Fool for love de Sam Sheppard. 
                     Et il joue également pour de grandes fresques médiévales où il peut se laisser aller à son penchant pour les cascades équestres et les combats à l’épée.
Sa passion du spectacle vivant l’amène également à écrire ses propres envies et de passer une demi douzaine de fois à la mise en scène pour Onirique ta mère au Théâtre de la Tempête, 
L’amour dans une usine de poisson d’Israël Horovitz au Théâtre de la reine blanche,
La valse du Hasard de Victor Haïm.
Au cinéma il tourne sous la direction de Pierre Jolivet dans la Très très grande entreprise, 
de Jean-Pierre Jeunet dans Mic mac à tire larigot, de Eric Lavayne dans Bien venus à bord. 
Et pour la télévision il est Camus pour Joel Calmette et joue dans La commanderie de Didier Le Pécheur, 
La journée de la jupe de Jean-Paul Lilienfeild, 
et aux côtés de Denis Podalydès dans le Satre de Bernard Stora.
Il a joué la saison dernière dans Rêves, création mis en scène par Philippe Adrien au Théâtre de la Tempête.


                
                       Traversées 
                         1 er volet 
                        L’Analphabète et La clé de l’ascenseur
                             d’Agota Kristof
                             en avril et mai 2011 au Théâtre de la Noue




La Compagnie Chat du Chéschire

La Compagnie Chat du Chéschire est implantée sur la ville d’Issy-les-Moulineaux depuis 1998. 
Elle est subventionnée par la ville D’Issy-les-Moulineaux et le Conseil Général des Hauts-de-Seine.
La compagnie a un partenariat depuis 15 ans avec le Théâtre de l’Espace Icare à Issy-les-Moulineaux. 
Elle s’occupe de l’enseignement du théâtre, elle créé des spectacles au sein de la ville d’Issy-les-Moulineaux ainsi que des courts-métrages.
La compagnie a eu un partenariat avec la CIMADE (organisme d’aide aux refugiés politiques) pendant quinze ans, partenariat qui a donné lieu à de nombreuses créations au Théâtre Trévise à Paris, financées par le fond européen réunissant migrants ainsi qu’acteurs professionnels.
Quelques unes de ces créations : 
Traversées 1er volet à partir de l’Analpahbète et de La Clé de l’Ascensuer d’A.Kritof joué au Théâtre de La Noue à Montreuil en 2011 mis en scène par Jeanne-Marie Garcia.
Coultour Guénérale, à partir de nouvelles d’A.Tchékhov dans les bibliothèques d’île de France, écrit et réalisé par Fabienne Gozlan.
Demain on se marie de C.Baronccini joué 160 fois au Théâtre de la Comédie de Paris mis en scène par Vaouda Campos.
Rumeurs au bord de la méditerranée, création avec des réfugiés politiques mise en scène Jeanne-Marie Garcia e pour la CIMADE au Théâtre Trévise à  (2007).
Témoignages de migrants, création avec des migrants mise en scène Jeanne-Marie Garcia au Théâtre Trévise à Paris (2006) : 13 représentations. 
Chut un enfant rêve…… d’Hanoch Lewin avec des mineurs isolés mise en scène Jeanne-Marie Garcia au Théâtre Trévise (2005).
A quoi rêvent les loups de Y.Kadra mise en scène Jeanne-Marie Garcia avec des mineurs isolés au Théâtre Trévise à Paris (2004).
A qui perd gagne, création à partir de textes de J.C Grümberg, Théâtre du Bourgneuf, Festival d’Avigon, mis en scène par Vaouda Campos.
Mariages, créations avec des sri-lankais et comédiens professionnels mise en scène Jeanne-Marie Garcia et Valda Campos au Théâtre Trévise à Paris (2003).    
La Clé de l’Ascenseur d’A.Kristof au Festival de Blaye en 1995, 1996 et au Théâtre des Songes en 7006 dans une mise en scène de Madeleine Marion.

Fiche technique

Durée du spectacle : 1 heure 15
Nombre de comédiens : 5

Espace
Espace : dispositif frontal
Dimensions minimales de l’aire de jeu : (ouverture 4 mètres, profondeur 4 mètres)
Théâtre à nu
Eléments de décor très légers : Un paravent, un fauteuil roulant, un rocking-chair, une desserte métallique roulante et quelques accessoires.

Lumière
3 par PC 1 kW
9 PC 5 kW
En fonction du plan de la salle, un plan feu précis sera envoyé ultérieurement.  


Sonorisation
Diffusion d’une bande sonore 
Lecteur de CD, ampli et enceintes jardin et cours

.
Description du décor : Un paravent. Une chaise roulante.Un rocking-chair. Une desserte.  Chaises de parc.


Montage et démontage : Le jour même


accueil
















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   Traversées
                                                        2 ème volet