Note d’intention


Qu’accepte-t-on de perdre dans un pays où tout est progressivement interdit ? Jusqu’où va cette acceptation? Le jour où plus rien n’est possible chez soi, comment faire son chemin et trouver sa place dans un ailleurs alors que l’on a tout laissé derrière soi ?

Agota Kristof explore ces questions à travers deux réçits.


L’un est une pièce de théâtre, une fable, l’autre est un récit autobiographique. 

Dans La Clé de l’Ascenseur, une femme fait visiter son beau château. Elle est heureuse. Elle

attend son homme. Peu à peu, ce bonheur s’effrite, elle raconte une bien étrange histoire

d’amour, elle se remémore par bribe des pans de son histoire perdue : la rencontre d’un garde-chasse dans une grande forêt, la séquestration par son mari qui lui confisque la Clé de l’ascenseur, l’attente interminable, les différentes mutilations subies qui lui font perdre progressivement toutes ses facultés physiques (perte de l’usage de ses jambes, de l’ouïe, de la vue). Elle finira par tuer son mari quand on voudra la priver de sa voix. 

A travers ce conte affreux, métaphorique, digne de nos pires cauchemars, on entend au

delà de l’histoire d’amour, celle de la privation de liberté, de la perte d’identité.

Agota kristof nous parle symboliquement des dictatures comme celle qu’elle a dû fuir……

Elle dit de sa pièce : « C’est d’abord une histoire d’amour mais, symboliquement, c’est aussi

l’histoire d’un peuple vivant dans un pays totalitaire. On y interdit les voyages, le

déplacement dans d’autres pays, l’écoute des radios et la lecture de journaux étrangers. Quand

finalement on interdit aussi le droit à la parole, le peuple se révolte. J’ai écrit cette pièce pour la liberté d’expression » .

Dans le deuxième récit, L’Analphabète, Agota Kristof livre des souvenirs très personnels.

Elle décrit son étrange parcours : la fillette ivre de lectures et d’histoires dès ses quatre ans,

les moments de bonheur avec ses frères et ses parents, la rupture du « fil d’argent de

l’enfance » dans ses années d’internat, la fuite de son pays aux côtés d’un passeur, la violence de l’exil, la perte de la langue première, le désert du pays d’accueil, l’horreur de se

constater « analphabète » devant les nouveaux mots d’une nouvelle vie, la nostalgie torturante

d’une autre vie qui aurait pu, qui aurait dû se dérouler heureuse, peut-être, mais, surtout au delà de tout, la foi passionnée de l’écriture de celle qui affirme : ce dont je suis sûre, c’est que j’aurais écrit n’importe où et dans n’importe quelle langue.  

Elle éclaire, à travers ses souvenirs intimes, le texte précédent ainsi que toute son

œuvre, et en fond, le sentiment d’arrachement et d’exil qui ne l’a jamais quittée. 




















                    Théâtre de la Noue


                             à Montreuil


                            Avril-Mai 2011










Presse


                    






















































L’auteur


L'œuvre sidérante d'Agota Kristof a rejoint les classiques de la littérature du XXe siècle – sa

fameuse Trilogie des Jumeaux notamment – imposant son monde hors norme, obsédé par la

violence, la nostalgie de l'enfance et de sa toute puissance, l'effroi de la perte des origines, le

mensonge des mots et l'implacable noirceur de la vie. Souligne-t-on le pessimisme absolu de son œuvre, la réplique fuse, imparable : « un livre, si triste soit-il, dit-elle, ne peut être aussi triste qu'une vie » ( Le Troisième Mensonge ).

Née en 1935 à Csikvand, à la frontière austro-hongroise, Agota Kristof a neuf ans lorsque ses parents s'installent à Köszeg qui deviendra la ville du Grand Cahier.

Après une enfance dure et forte mais heureuse, elle connaît un premier exil lors des

années d'internat et obtient un bac scientifique. En 1956, lorsqu'elle fuit la Hongrie envahie par les troupes soviétiques, c'est une jeune femme de vingt et un ans qui, dans l'urgence, son mari étant politiquement menacé, quitte tout, n'emmenant avec elle que son bébé de quelques mois et des dictionnaires. Elle pensait se fixer en Autriche ou aux Etats-Unis : le destin en décidera autrement et c'est à Neuchâtel et en français qu'elle vivra et créera son œuvre dérangeante et magnifique. Car la fugitive est un écrivain, débutant, certes, mais qui, déjà, doit faire le double deuil d'une œuvre lyrique dont les manuscrits sont abandonnés en Hongrie, perdus à tout jamais, et d'une langue maternelle, le hongrois, sienne pour un temps encore, avant d'être « vampirisée » par le français,

langue de son œuvre future. Agota Kristof a dit dans L'Analphabète (2004, textes de 1989/90) son étrange parcours : la fillette ivre de lectures et d'histoires dès ses quatre ans, l'adolescente qui écrit des poèmes et tient un journal codé, la violence de l'exil, la perte de la langue première, l'horreur de se constater « analphabète » devant les nouveaux mots d'une nouvelle vie, l'éreintement d'un travail d'usine qui permet de survivre, la nostalgie torturante d'une autre vie qui aurait pu – qui aurait dû – se dérouler « heureuse peut-être », mais – surtout et au-delà de tout – la foi sèche et passionnée dans l'écriture de celle qui affirme : « Ce dont je suis sûre, c'est que j'aurais écrit, n'importe où, dans n'importe quelle langue » . Ce sera le français qu'elle a pu approfondir grâce à une bourse de l'Université de Neuchâtel. Ses premiers textes français, du théâtre et des nouvelles, ne paraîtront que bien plus tard, de 1993 à 2007 pour le premier ( L'Épidémie ; Un rat qui passe ; La Clé de l'ascenseur et autres pièces ; Le Monstre et autres pièces) et 2005 pour les secondes ( C'est égal) . En 1986, alors qu'elle est une parfaite inconnue sur la scène littéraire, le Seuil publie

son premier roman, Le Grand Cahier, qui lui vaut un succès mondial et entraîne ses « suites », La Preuve en 1988 et Le Troisième Mensonge en 1991.

En 1995, après un silence de quatre ans, Agota Kristof fait paraître Hier, le plus autobiographique de ses romans, dit-elle, chronique mi-narrative mi-onirique d'un exil insoutenable et d'une écriture abandonnée. « Sans écrire, je me sentirais complètement inutile » ( Le Matricule des anges , numéro 14, 1996, p. 21) affirmait-elle peu après, en 1996. Pourtant, moins de dix ans plus tard, c'est par un constat fataliste et lassé qu'elle vient contredire son assertion première : « Tout m'est égal maintenant, même l'écriture   » (elle s'exprime en ces termes dans Le Magazine littéraire , numéro 439, 2005, p.96) Paraissent pourtant de nombreux textes issus des intenses années 1970/1980 et le public découvre, en 2004, le récit autobiographique de L'Analphabète au succès immédiat, mais dont, étonnamment, son auteur se distancie irrémédiablement ; les surprenantes nouvelles de C'est

égal, en 2005, entre humour grinçant, sourde mélancolie et lassitude. Un recueil de théâtre paraît en 2007, Le Monstre et autres pièces, puissantes dénonciations des vices politiques, écologiques ou sociaux d'un monde qu'Agota Kristof réprouve et auquel elle n'oppose plus, désormais, qu'un nihilisme aussi total que serein.« Il faut du courage pour écrire certaines choses » disait-elle. Probablement aussi pour les taire.



L’équipe Artistique


Jeanne-Marie Garcia : comédienne













Elle a été formée au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris et au Conservatoire National de région de Bordeaux.

Elle joué mars 2011 avec Pauline Bureau dans Roberto Zucco de B.M Koltès ( rôle de la mère) pour mars 2011 sur la scène nationale de Châlon sur Saône.

Elle répète actuellement avec Philippe Adrien une création  pour juin 2011 au Théâtre de la tempête.

Elle ajoué au mois d’avril 2010  dans Mon cœur caresse un espoir, Textes sur la déposition 1940-44, journal de Léon Werth, en scène : Valérie Antonyievich (La mère et de la femme déportée) auThéatre de l’Epée de Bois, dans Demain, on se marie de

C.Baronccini  (Carole) dans une mise en scène de Valda Campos au  Théâtre de la Comédie Saint Michel à Paris (120 représentations) Dans Barbe Bleue  de Max Frisch  ( Rôles : Les six femmes  de Shaad ) Au Théâtre du Chaudron à la Cartoucherie de Vincenne, au C.D.N d’Angoulème-Tournée, Mise en scène :  Régine Achille-Fould, dans Juliette Drouet et Victor Hugo  d’aprés leur correspondance ( Rôle : Juliette) mise en scène : Loic Pichon au Théâtre de La Tâche d’Encre à Avignon , tournée dans La Clé de l’Asceseur d’ A.Kristof, Mise en scène : Madeleine Marion au Festival de Blaye à deux reprises et auThéâtre des Songes à Paris, dans A qui perd gagne  à partir de textes de J.C Grümberg (Anne) Mise en  scène : Valda Campos au Théâtre du Bourgneuf au Festival d’Avignon-Théâtre, de la ménagerie de verre-Paris, dans Les liaisons dangereuses  de  Laclos ( Mme Merteuil ) Mise en scène : Alain Paris, à la Ménagerie de verre : Paris : C.D.N de Meaux, Tournée, dans Tartuffe  de Molière (Dorine ) Mise en scène : Laurent Laffargue  au C.D.N de Bordeaux, C.D.N de Nancy; Théâtre 71 Malakoff, tournée dans Exercices de terreur  d’A.Sastre ( Rôles: Andersen ) Mise en scène : Michel Allemandou au C.D.N de Bayonne, Théâtre du Globe : Bordeaux dans La mort de Pompée  de Corneille ( Rôle : Cléopâtre) Mise en scène : Brigitte Jacques au C.D.N  d’Aubervilliers, tournée dans Le vampire de Uppsala  d’A.Sastre ( Rôle: Ulla) Mise en scène : Michel Allemandou au C.D.N de Bayonne, Théâtre Barbey : Bordeaux,Théâtre du Colisé : Biarritz, Dans Cent  Milliards d’envies  de Y.Petrugnias ( Rôle Millie ) Mise en scène : Yorjos Petrugnias auThéâtre A : Nanterre, dans Elvire-Jouvet 40  de B.Jacques (rôle : Elvire, Claudia) Mise en scène : Jacques-Albert Canques Au Théâtre de l’Argonne : Bordeaux, dans Le chant du silence rouge  de C.Galéa (Rôles : La jeune fille) Mise en scène : Pierre Vial au C.D.N de  Marseille , C.D.N de Strasbourg, Tournée, dans Le pain de ménage   de J.Renard ( Rôle : Marthe ) Mise en scène : Raymond Baillet Théâtre.J.M :  Montpellier, dans La dispute de Marivaux (Rôle:Eglée ) Mise en scène : Gérard Laurent au Théatre du Conservatoire de Bordeaux - Tournée dans les châteaux de l’aquitaine, dans Crime et Châtiment de Dostoïevski (Rôle :Sonia ) au Théâtre 14 : Paris  tournée Mise en scène : Jean-Claude Amyl, dans Bajazet de J.Racine, mise en scène : Madeleine Marion  à la Comédie de Genève, dans Iphigénie de J.Racine ( Rôle : Iphigénie ) Conservatoire National Supérieur d’Art dramatique de Paris Mise en scène : VivianeThéophilidès, dans L’Arlésienne   d’A.Daudet (Rôle:Vivette ) au Théâtre du conservatoire de Bordeaux Mise en scène : Gérard Laurent, dans Mephisto   de K.Mann ( Rôle:Thérésa ) au Théâtre Barbey : Bordeaux, Mise en scène : Jacques-Albert Canques. Elle a enseigné le théâtre à des réfugiés politiques et mineurs isolés à la CIMADE.



Valda Campos : comédienne et auteur

Elle est franco-brésilienne.









Elle est titulaire d’un D.E.A en études théâtrales et a suivi comme comédienne le cycle complet de l’Ecole Florent.Elle a travaillé comme comédienne la saison dernière avec Thierry Malek  dans Le Misanthrope de Molière (Arsinoé) au Picalili Théâtre à Rennes, avec Coretta Baroncini dans Il ne faut jurer de rien de Musset (La baronne) au Picalili Théâtre à Rennes , avec Philippe Berling dans Le Fils de C.Rullier (Edith Cohen) au O Cabana de Praia au Brésil, avec Jean-Chirstophe Roux  dans Tout va presque bien de Ph. Giorlando (Henriette) au Théâtre-Café de Paris, , dans sa propre mise en scène de Authentics Losers (Catherine) de J.C Grümberg au festival d’Avignon au Théâtre du Bourgeuf. Dans Passage de C.Hein (Exilée tchèque : Lenka) au Théâtre de la Plaine Porte de Versailles, avec Séverine de Valois dans Don Juan  de B. Brecht (La cuisinière : Séraphine) au Théâtre des songes à Paris,  avec Xavier Florent dans Proverbes de Carmontelle au Théâtre de l’Alliance Française au Brésil (MG), avec Valérie Nègre,  dans  La princesse Blanche  de V. Nègre (Une diablesse) au Festival d’été aux Buttes de Chaumont,  avec Du Grupo, dans A poesia da rua  de  Du Grupo  au Brésil (Théâtre de rue), elle a fait partie de la création collective  Hair cae o sol (Marisol) au Théâtre D.C.E da Fédéral au Brésil, elle a été Comédienne et assistante à la mise en scène pour la Compagnie de Théâtre « Ziembisk » au Brésil pendant cinq saisons. Enfin, au cinéma, elle a joué et s’est ocuppée de la direction d’acteurs sur le tournage du film  Jean Claude Dreyfus avec Jean-Claude Dreyfus de Karim Mathieu. Elle a interprété la Femme brésilienne dans Les rois mages avec Didier Bourdon, Bernard Campan, Pascal Légitimus. Elle a mis en scène récemment Demain on se Marie  de C. Baroncini, pièce jouée au Théâtre du Lucernaire puis à la Comédie Saint-Michel pour 120 représentations.  Elle a créé en 2004 à partir de témoignages d’anciens S.D.F et anciens détenus à partir de leurs témoignages et souvenirs, un spectacle au Théâtre du passage à  Fécamp. Elle a créé et mis en scène Royaume des pieds et des chaussures dans les cours d’immeuble et de HLM de Paris.  Cette création est partie au festival d’Avignon avec l’association « Vol de l’espoir » Elle a mis en scène en 2002 l’Hippocampe au Théâtre Péniche, quai de la gare Paris.  Elle a mise en scène  Authentiques Loosers de J.C.Grümberg au Festival d’Avignon au Théâtre du Bourgneuf. Elle y interprétait aussi le rôle de la mère. Elle a été assistante à la mise en scène dans Des souris et des hommes de G.Steinbeck au Théâtre le Trianon à Paris et au Festival d’Avignon au théâtre du Bourgneuf.  Elle a mis en scène La fée inconstance, Spectacle pour enfant, joué dans l’enceinte le l’association des femmes battues  ainsi qu’au Théâtre de la Tâche d’Encre à Avignon.Elle travaillé avec Jeanne-Marie Garcia sur des créations mettant en scène des réfugiés politiques sur des thèmes très variés tel que: L’exil, le voyage, le rêve, la rencontre, le mariages et ses différentes coutumes) pour la CIMADE  au Théâtre Trévise à Paris.Elle a fait une création remarquée avec deux cent adolescents, scénographie pour le Festival de Seine Saint-Denis au Vingtième Théâtre. Elle enseigne le Théâtre au théâtre de la Comédie Saint-Michel depuis 2008 ainsi que dans des lycées parisiens depuis 1998.


Etienne Rattier : comédien et technicien du son









Il s’est formé au Conservatoire National de Région de Bordeaux.

Comédien sous la direction de Daniel Amar (Le capitaine dans Woyzeck de G. Büchner, Théâtre de l’Usine, Pontoise), Claude Bonin (Montage de textes de Visniec, Plejnev, dans La poudrière sentimentale, (Festival de Sozopol, Bulgarie) Jacques-Albert Canques (Hans Miklas dans Mephisto de K. MANN,), Gérard Laurent (Saïd dans Les Paravents de J. Genêt, Théâtre du Port de la Lune, Bordeaux, Festival d’Avignon) Raymond Paquet (Le personnage dans Ce formidable bordel d’IONESCO, Centre Malraux, Bordeaux), Gabriel Chame Buendia (Schlimazel dans Coup de Chance de Jean-Henri Blumen, Cour de l’Hôtel de Sully, Paris), Olivier Cohen (M. Lenglumé dans L'affaire de la rue de Lourcine de E. Labiche, Le Procesnium, Paris). Mise en scène de Amour et piano, Par la fenêtre, L'homme de paille de G. Feydeau (Théâtre Icare, Paris, Théâtre de Dreux), Noce de sang, La Maison de Bernada de F. Lorca (Théâtre Icare, Paris), Le Professionnel, Anatole Felde de Hervé Blutsch (Festival d’Avignon). Passionné par la musique, l’informatique et le son, il s’est formé en autodidacte et a signé de nombreuses bandes sonores dans les spectacles au sein desquels il était comédien. Il est directeur de la compagnie de l’Instant.



La Compagnie Chat du Chéschire


La Compagnie Chat du Chéschire est implantée sur la ville d’Issy-les-Moulineaux depuis 1998. Elle est subventionnée par la ville D’Issy-les-Moulineaux et le conseil général des Hauts-de-Seine.

La compagnie a eu un partenariat avec la CIMADE (organisme d’aide aux refugiés politiques) pendant quinze ans qui a donné lieux à de nombreuses créations au Théâtre Trévise financées par le fond européen réunissant migrants ainsi qu’acteurs professionnels

Quelques unes de ces créations :

Rumeurs au bord de la méditerranée, création avec des réfugiés politiques mise en scène Jeanne-Marie Garcia et Valda Campos pour la CIMADE au Théâtre Trévise à  (2007).

Témoignages de migrants mise en scène Jeanne-Marie Garcia au Théâtre Trévise à Paris (2006) : 13 représentations.

Chut un enfant rêve…… d’Hanoch Lewin avec des mineurs isolés mise en scène Jeanne-Marie Garcia au Théâtre Trévise (2005).

A quoi rêvent les loups de Y.Kadra mise en scène Jeanne-Marie Garcia et Valda Campos avec des mineurs isolés au Théâtre Trévise à Paris (2004)

Mariages créations avec des sri-lankais et comédiens professionnels mise en scène Jeanne-Marie Garcia et Valda Campos au Théâtre Trévise à Paris (2003).

Enfin depuis 2005, la compagnie présente des spectacles de poésie, de clown et de Slam dans les maisons de retraite ainsi que dans des hôpitaux des Hauts-de-Seine.

Elle a un partenariat au Conservatoire de Villepinte depuis 2010.

                                                  

Fiche technique


Durée du spectacle : Environ 1h 15


Description du décor : Un paravent. Un bureau et une chaise.

Une chaise roulante.

Un rocking-chair.

Une école miniature.

Des accessoires divers.


Habillage de la salle : Nue.


Son: Lecteur de CD.


Lumières : 9 PC 0,5 KW. 3 PC 1 KW


Montage et démontage : Le jour même


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